Crimes parfaits

Un plat qui se mange froid (Crimes parfaits)

Impuissant face au calvaire de sa soeur mariée à un homme violent qui la tient sous silence, Philippe, chirurgien, décide de se débarrasser de son bourreau de beau-frère et confrère de surcroît. Au courant de ses allergies alimentaires, Philippe élimine Jean en versant de l'huile d'arachide dans son déjeuner, lui assurant un choc anaphylactique mortel. Précautionneux, il s'est assuré de brouiller les pistes quant à l'heure du décès. Le commandant Delaunay et le lieutenant Mizon devront percer à jour ce médecin un peu trop propre sur lui.